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  • : Adamantablogue
  • : *Étonnement systémique et libertaire *Évaluations de l'actualité culturelle, artistique, politique, économique, sociale *Ouvertures vers la pensée non conformiste
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Le site source de ce blog, adamantane.net, a été mis en chantier et en ligne pour assurer simultanément plusieurs fonctions :
  • Présenter un ensemble de littératures polychromes : poèmes, essais, critiques, préfaces, documents pédagogiques, schémas didactiques, fragments sur des thèmes divers
  • Publier des auteurs, et plus généralement afficher des artistes, connus comme méconnus
  • Servir de portail à des associations à but artistique et culturel
  • Accueillir des activités d'écriture collaborative
  • Dissimuler un espace privé dédié à des recherches symboliques.
Son rédacteur veut les assurer de manière :

  • Systémique : les liens et interactions entre les divers domaines de la pensée active constituent en noosphère vivante ce qui sans eux ne serait qu'une froide encyclopédie des savoirs ;
  • &, conjonction de coordination
  • Libertaire : la personne est première ; les maîtres à penser sont à fréquenter avec d'extrêmes précautions, et le progrès nait de la réflexion autonome de chacun venant se combiner à celle des autres.

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3 janvier 2007 3 03 /01 /janvier /2007 18:29

Poète et auteur de polars ?
Jean-Paul Giraux,
-co-animateur des mercredis du poète  -collaborateur de Poésie-sur-Seine,
-et de Poésie -Première,
a au moins une double vie...

Il est aussi amateur de sémantique générale :

On aura beaucoup progressé en matière de justice quand tout le monde aura admis que l'aveu d'un crime par un suspect, son expression verbale, n'est pas le crime lui-même...

Cela s'appelle L'Amérique et les yeux du poisson rouge, compte 225 pages, est édité par Éditinter , isbn-é sous le numéro 2-35328-004-8 et  vendu 17 € plus frais de port.
Se trouve aussi chez tout bon libraire, ainsi que sur les sites de la FNAC ou d'Amazon...

Crédits : merci à Colette Giraux pour l'illustration de la I° de couverture, et à la ville de Nevers pour avoir gracieusement fourni le cadre de l'intrigue.
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2 janvier 2007 2 02 /01 /janvier /2007 19:10

Paul Farellier m'a signalé la parution d’un ouvrage consacré par Christophe Dauphin au poète Marc Georges Patin (1919-1944). Cet essai biographique, critique et historique est suivi d’un important choix de poèmes. Il ressuscite pour le public une œuvre injustement occultée et, en le faisant découvrir, rend enfin justice à un poète surréaliste qui fit partie de l'aventure insoumise de la Main à Plume.
C'est Guy Chambelland qui fit le premier connaître  Marc Patin, en publiant en 1992 deux plaquettes contenant des extraits de son œuvre.

Son titre : Marc Patin, le surréalisme donne toujours raison à l'amour
Son éditeur : L G R

Crédits : merci à Paul Farellier, pour l'information, et  à l'éditeur, pour cette image de la I° de couverture du livre.

Cet événement est signalé par d'autres, loin d'ici mais si près de nous au fond...On se sent moins seul !

 

 
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2 janvier 2007 2 02 /01 /janvier /2007 11:16


Un amateur de livres et de revues de poésie a décidé de remettre en circulation nombre d'ouvrages et de collections de  sa bibliothèque personnelle...

Vous pouvez lui demander de ma part de vous envoyer la liste des titres encore disponibles. Il vous l'enverra sans tarder.

Que vous cherchiez des textes de poètes pudiquement connus, peu connus, voire fièrement inconnus, vous pourrez y dénicher l'indénichable.

Beaucoup de francophones, mais aussi des étrangers.


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30 décembre 2006 6 30 /12 /décembre /2006 15:23

J'aurais dû classer cette information, selon ma propre logique, dans la rubrique (catégorie) nouvelle des arts, mais libertaire me va mieux...

Deux  amis de Francis Conem annoncent la mise en ligne d'un blogue dédié à ce poëte, qui aura consacré beaucoup de son énergie au service d'écrivains, poëtes, artistes peu connus...Après avoir été un des animateurs des Cahiers des amis de Han Ryner, il devint (enfin,  pas par hasard, ni passivement ) le fondateur, rédacteur, éditeur et diffuseur du bulletin littéraire  Les Messages de Psychodore.

Ma collection personnelle de ce bulletin commence au numéro 19 et cesse au 89, probablement le dernier...

Des noms sont exaltés un à un qui s'effacent
Mais un vrai nom résite à la mode qui passe.


Ils annoncent aussi la création du bulletin trimestriel Fidelis. On peut s'abonner...

Ces amis sont Gérard Miguet et Ivan de  Duve.

Crédits :
-merci à Francis Conem pour avoir mis en épigraphe à Les Messages de Psychodore les deux vers de Francis Jammes cités plus haut ;
-merci à la tradition pour cette image du cherchant...
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28 décembre 2006 4 28 /12 /décembre /2006 23:22

Non.

Quelles qu'aient été les fautes politiques commises, les crimes individuels ou collectifs perpétrés, les plans meurtriers imaginés, ordonnés ou couverts, et même si le référentiel juridique que ce procès a inauguré prévoit cette peine du fait des charges retenues, ni Saddam Hussein ni aucun de ses co-accusés ne doivent être mis à mort.

Non.

Il ne s'agit pas de démontrer qu'il s'agirait d'une erreur tactique dans la perspective de la réduction des discordes en Irak, et que si cette pendaison, dont certains veulent faire un spectacle public et que d'autres conseillent d'effectuer dans la plus rigoureuse des discrétions, a lieu, alors de graves désordres en résulteraient.

Non.

Même si les Livres dits sacrés, sous la forme où nous pouvons les lire, y compris le Coran [...Ne mettez point votre semblable à mort, excepté en justice...Sourate VI,  les Troupeaux,  verset 152 – dans la traduction de Claude-Étienne Savary ] concèdent la possible légitimité de cet abus de force, c'est toujours au nom d'une présupposée justice que de telles sentences furent rendues et exécutées, en contradiction avec le message formel porté par ces mêmes Livres selon lequel Dieu seul est justice, rien ne peut priver le coupable du pire de son droit à la repentance et à la vie.

Non.

Il s'agit tout simplement d'affirmer le refus de cette pratique, ni par calcul ni par commodité, mais par principe. La mise à mort de sang-froid est une des manifestations du mal absolu. Que ceux qui ont promis à la face des nations de mettre fin à l'empire du mal tiennent parole. Qu'ils tuent la haine, et non le haineux.

Non.

Crédits : on reconnaîtra la gravure au burin d'Albretch Dürer, le Chevalier, la Mort et le Diable, datée de 1513.
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19 décembre 2006 2 19 /12 /décembre /2006 13:55

Homme libre dans une loge libre (se dévoiler n'est pas se dénuder) je pratique l'isegorie sans le savoir.
Les corporations ne pourraient saborder Internet que si Internet était le seul vaisseau qui les fasse flotter sur les océans atlantico-politique et pacifico-écononomique. L'abolition par Isaac Le Chatellier (enfin, il s'est fait aider) des anciennes corporations s'étant accompagnée, pour faire bonne mesure, de l'interdiction du compagnonnage et de la prohibition des syndicats, je ne vois aucun inconvénient à ce que les corporations existent...et agissent.

Interpréter les phénomènes d'influence actuels à la lumière des enseignements de la société de l'Athènes des  grandes époques mérite quelques éclairages supplémentaires et contextuels.
Athènes comptait alors, dit-on, de nombreuses "tribus" (à certaines époques définies par classes de revenus ou de patrimoine...) et un système de représentation complexe – dans ses modes de désignation comme dans son fonctionnement logique – dont le nombre de partenaires directs semble, d'après mes sources, ne pas avoir excédé le millier.
Aujourd'hui, un citoyen sur deux, soit vingt à trente mille fois plus de personnes, a le moyen d'intervenir directement, sans convocation, sans droit d'entrée, sans tour de parole, sans président de séance  – autre que les contraintes de la netétiquette si elle est reconnue comme telle...– , sur le réseau pour dire ce qu'il pense de qui que ce soit et de quoi que ce soit, le tout quand que ce soit....

Mon propos n'est pas ici d'infirmer ceux d'Étienne Chouard tels que rapportés dans Carnets de nuit dont le rédacteur relaie avec intelligence la déclaration. 

Au contraire.

Les blogues peuvent changer la politique dans ses méthodes et dans ses résultats.

Encore faut-il :
-que les papiers soient lus, et engendrent débats
-que les citoyens-votants n'oublient pas dans l'isoloir les réflexions du citoyen-débattant
-que les citoyens-politiciens retournent dans cette forme moderne de l'antique préau d'école qu'est la blogosphère, non pour intoxiquer leurs lecteurs (comment séduire ceux qui sont contre sans éc?urer ceux qui sont pour...?) mais pour lire et comprendre les questions, révoltes et recommandations des citoyens-électeurs, dont ils ont souvent trop tentance à oublier qu'ils ont en moyenne au moins le même QI qu'eux.

Crédits : merci à Hérodote pour cette réflexion :  Δηλοῖ δὲ οὐ κατ΄ ἓν μοῦνον ἀλλὰ πανταχῇ ἡ ἰσηγορίη ὡς ἐστὶ χρῆμα σπουδαῖον ( ....On pourrait prouver de mille manières que l'égalité entre les citoyens est le gouvernement le plus avantageux...) et à Pierre-Henri Larcher pour sa traduction, qui a plus de 150 ans...


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11 décembre 2006 1 11 /12 /décembre /2006 18:51

La section Lectures IV de la rubrique La jointée du site adamantane.net a été enrichie d'une partie nouvelle et illustrée dédie au peintre Jacques Truphémus. Cette étude doir beaucoup à Jean-Paul Gavard-Perret, qui a su lire Jean Leymarie et regarder Jacques Truphémus...

Crédits : Merci aux émerveillements d'Alice pour cette photographie prise au musée Dini à Villefranche.
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10 décembre 2006 7 10 /12 /décembre /2006 16:16

Le permis à points avait été mis en place, si j'en ai bien compris l'esprit, pour faire réfléchir les pilotes d'automobiles sur les risques qu'ils faisaient prendre et prenaient en dérogeant  pour commodité personnelle ou par distraction –tout aussi personnelle... – aux paternelles injonctions du code de la route.
Le concept de points (le permis partiellement soluble dans la contravention) voulait , intelligement, éviter la sanction du type tout ou rien qui met dans le même panier (à salade) l'égoïste meurtrier qui double en haut de côte en troisième position et le philofélin qui dans un village désert donne un petit coup de volant à gauche pour ne pas écraser un crapaud fourvoyé ou un  rescapé des chats de Léautaud ( Laid-Auto ?...), suivant ainsi les conseils donjuanesques de feu tonton Georges.

Mais voilà que dare-dare les radars, systèmes automatiques et incorruptibles, même si non-infaillibles, enregistrent depuis quelques mois plus d'excès que d'habitude. Cela ne retire rien à la réalité de la majorité des infractions, même si certaines ont pu faire – souvent à juste titre – l'objet  de contestations amusantes.
Du coup, nous apprenons avec stupeur que le nombre de permis de conduire ainsi rendus incomplets fait, avec 20 %, un score à rendre jaloux un candidat au premier tour de l'élection présidentielle.
D'où à la fois l'émergence d'une peur – première étape vers une sagesse renforcée ? – et un nombre accru de conducteurs circulant sans permis. Il est par ailleurs et "au passage " stupéfiant que, vu l'effectif des agents assermentés qui émargent au budget de la collectivité et le nombre de contrôles subis par un citoyen à quatre roues, autant de manieurs de volant puissent circuler librement sans le papier qui atteste de leur capacité théorique à le faire.

Que font nos politiques ? Contre toute attente, cédant aux pressions de ceux qui mettent en avant "le besoin du permis pour travailler", ils décident, non pas de renforcer l'éducation civique des chatouilleurs de règlement, voire des délinquants notoires, mais d'assouplir la règle car il y aurait trop de retrait de points.

Il franchissent sans scrupules leur propre bande blanche. Et même, imitant les motards vrombissant à contre-sens et injuriant les usagers sans imagination qui se bornent à rouler sur la chaussée qui leur est réservée,imitant les cyclistes qui brûlent les feux pour sauter plus vite sur les trottoirs slalomer entre les piétons pas trop rassurés, ils transgressent la règle commune et de bon sens qui veut que si un appareil répressif ayant eu le feu vert –si j'ose écrire – des techniciens et des représentants du peuple signale des fautifs, il faut soigner lesdits fautifs et  non édulcorer l'appareil.

Si un citoyen a besoin du permis pour travailler, non seulement nous pouvons attendre de lui qu'il ménage son outil de travail, mais aussi que, plus expérimenté que le retraité amateur ou le débutant effarouché par la complexité du système et les incivilités de certains, il ait par son comportement valeur d'exemple.
Le fait d'être boucher n'autorise pas à donner du tranchoir à tort et à travers, le fait d'être journaliste n'autorise pas à écrire n'importe quoi n'importe comment, le fait d'être grand conducteur aux commandes d'une grosse cylindrée  n'autorise pas à mettre les dodocheurs  en danger. Ou alors, que ces amateurs de sensations (que d'ailleurs ils offrent généreusement  en partage aux autres, qui n'en peuvent mais) aillent affiner leurs talents sur les bord de la moskova, où ce comportement semble, selon un article de presse récent, toléré pour quelque temps encore par les autorités.

Crédits : merci à la DEE du Loiret pour sa fiche d'information sur le permis à points....
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10 décembre 2006 7 10 /12 /décembre /2006 12:15

Le site de LA JOINTÉE vient d'accueillir en Écritures IV un texte inédit D' Hédi Bouraoui, Catherine ma sœur.

Hédi Bouraoui, qui est un des auteurs que nous publions régulièrement, fait vivre un univers transculturel implanté dans le pentagone Maghreb - France- Canada -Afrique subsaharienne - Caraïbes. 
Né à Sfax, il étudia dans le Gers, puis à Toulouse, et enseigna en particulier à  l'Université York  [*] de Toronto, Ontario, Canada, comme directeur du Département d'Études Françaises. Il y est maintenant Écrivain en Résidence.
Sur son site personnel il explique tout ça avec ses mots à lui...

[*] La ville de Toronto s'est appelée York de 1793 à 1834...
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8 décembre 2006 5 08 /12 /décembre /2006 17:47


Je suis avec intérêt depuis quelques semaines les échanges de points de vue qu'accueile le forum des rédacteurs d'AgoraVox sur le thème des commentaires. J'allais écrire "comment taire certains commentaires"...
Il est vrai, que dans AgoraVox comme à feue la Samar, on trouve de tout en matière de commentaires.

Le désir de bien faire, émergeant de celui de bien être, pousse à la mise en place de mécanismes complexes et exogènes. Chacun, la peau un peu grattée par ces pustules programmatiques qui germent les unes sur les autres, finit par perdre de vue les formes simples du corps d'origine. Non, je ne demianoueste pas.
Je veux seulement dire qu'au plan pratique tous ces perfectionnements ne font pour moi que complicationner, comme eût dit le regretté Georges Marchais par la bouche d'un de ses imitateurs caricaturiste, la chose.

On pondère,on échelle, on plie et on déplie, en colorise, on débat des seuils d'acceptance ou de refusement...Intéressant. Fascinant, dirait Monsieur Spock.

Pour ce qui me concerne, petit rédacteur amateur, je dirai que :

-Les commentaires sont la trace visible du passage d'un lecteur. La trace est ce qu'elle est.

-Le contenu du commentaire relève de la responsabilité de son auteur (l'éditeur de site ayant certes légalement à intervenir pour éliminer ceux dont le texte tombe "sous le coup de la loi").

-Il m'appartient d'en retenir pour moi ce qui me semble pertinent ou utile, et d'y donner suite ou non ; certains appellent remerciements, approfondissements, d'autres explications complémentaires, d'autres silence, spontané ou réfléchi...La réfutation argumentée est possible dès lors qu'elle fait progresser courtoisement un débat, inutile, voire dangereuse quand elle est réaction affective à une provocation.

-Je ne suis pas affecté par les insultes ou les procès d'intention : les personnalités bruyantes, encombrantes,ne peuvent être muselées, et si elles se heurent à un vide élastique elles n'ont pas leur nourriture, et changent de cible...J'ai l'habitude des objections infondées, des interprétations tordues, des attaques in hominem (habitude non de pratiquer, encore que dans le feu de l'action je ne puisse me proclamer vierge de tels excès, mais d'affronter)et je ne cherche point à m'enprésrer par une cuirasse extérieure ; ma résistance est en moi.

-Je n'ai aucun intérêt pour la note donnée (intéressant/ pas intéressant) à mes interventions. Je ne cherche pas en effet à avoir une bonne note, mais à dire tranquillement et poliment ma vérité. Si mon "article" est publié, c'est qu'il satisfait aux principes de base : il s'appuie sur des sources crédibles, il a une valeur ajoutée, il n'enfreint pas les règles de la bienséance ; je fais confiance au comité de rédaction, jouant moi-même ce rôle dans d'autres instances, pour avoir un référentiel cohérent et savoir s'en servir. Quitte bien entendu à demander des explications si besoin...

-Je ne suis pas perturbé par les commentaires hors sujet -sauf à m'interroger sur la clarté de mon papier, bien sûr - , non plus sur les maniaques, les déviants, les verbeux, les obscurs, les tendancieux, les bêtes et méchants. Et je ne vois aucune raison de les noter, éliminer...Mettre un écrit dans le domaine publis, c'est aussi prendre le risque de le voir affublé d'une queue de comète dont tous les éléments n'ont pas aux yeux de l'auteur la même brillance...

-Je trouve les commentaires irremplaçables dans la formule spécifique d'AgoraVox. Et je recommande de les prendre comme ils sont, bruts de décoffrage. Après tout, les articles que nous mettons en ligne, ne sont-ils pas, quand nous nous retrouvons lecteurs, à prendre strictement comme ils sont ?

Pour conclure, j'ai écris que je souhaitais une simplification du dispositif de présentation des articles. La complication des procédures peut en efet être interprétée comme signe visible de la coexistence de principes contradictoires.


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