28 avril 2007
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Nicolas Hulot a monté autour d'un pacte écologique une opération de communication qui a fait parler d'elle, et aussi un peu de lui.
Les citoyens qui se se sont retrouvés, se retrouvent dans cette idée d'introduire de bas en haut les exigences thérapeutiques, tant préventives que curatives, qu'engendre la mauvaise santé de la planète, ont suivi ce Nicolas là sur ce terrain. Ils l'ont encouragé. Ils l'ont relayé, puisqu'il disait vouloir être leur porte-parole.
Le porte-parole semble, lui, souffrir depuis quelques jours d'une extinction de voix.
Les programmes de Monsieur Triplemoi et de Madame Sourire , maintenant que Monsieur Tracteur est occupé à labourer le terrain politique pour faire fructifier son verger d'oranges, ne sont objectivement pas au même niveau en matière de perspectives d'action écologique.
Les citoyens qui se se sont retrouvés, se retrouvent dans cette idée d'introduire de bas en haut les exigences thérapeutiques, tant préventives que curatives, qu'engendre la mauvaise santé de la planète, ont suivi ce Nicolas là sur ce terrain. Ils l'ont encouragé. Ils l'ont relayé, puisqu'il disait vouloir être leur porte-parole.
Le porte-parole semble, lui, souffrir depuis quelques jours d'une extinction de voix.
Les programmes de Monsieur Triplemoi et de Madame Sourire , maintenant que Monsieur Tracteur est occupé à labourer le terrain politique pour faire fructifier son verger d'oranges, ne sont objectivement pas au même niveau en matière de perspectives d'action écologique.
J'attends avec intérêt que le porte-pacte en prenne acte et rappelle à l'ordre celui des deux candidats qui aurait pris trop de distance avec des engagements antérieurement contresignés.
D' autres aussi, avec raison, s'impatientent.
D' autres aussi, avec raison, s'impatientent.
La justification du silence par l'impartialité, le désir de respecter les convictions intimes des électeurs, la volonté de ne pas obérer l'impact d'une intervention ultérieure dans les élections législatives, est trop rationnelle pour être crédible.
Quoi qu'on en pense, une fois sous les projecteurs, se défiler fait un peu trop fin de spectacle, voire fin de partie.
Cher Jean-Pierre, J'ai bien aimé ton avant dernier blog : l'éloge de la trahison n'est plus à faire. Pour le dernier, j'écrirais "Quoi qu'on en pense" et non "quoique"...Amitiés.
Quoi qu'on en pense, une fois sous les projecteurs, se défiler fait un peu trop fin de spectacle, voire fin de partie.
Crédits :
Merci à mon ami et correspondant Jean-Paul Giraux, qui m'a signalé une anomalie d'écriture que je me suis empressé de rectifier :
Merci à mon ami et correspondant Jean-Paul Giraux, qui m'a signalé une anomalie d'écriture que je me suis empressé de rectifier :