30 décembre 2005
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Selon un quotidien national, qui reprend une information fournie par une grande société d'assurances, quatre français sur dix parlent toujours en francs.
Ce papier ne dit pas qui s'exprime en euro-balles ou en euro-bâtons ...
Il est envisageable que l'ignorance grammaticale des princes qui nous gouvernent, ignorance qui leur a permis de substantiver abusivement un préfixe, ait porté malheur à la monnaie dite euro-péenne.
Plus concrètement, il est très possible de penser que tant que les gestionnaires de comptes bancaires maintiendront la disposition absurde du double chiffrage, qui rend de plus les relevés peu lisibles, les euro-usagers français seront encouragés à rester prisonniers du passé.
Pour ne rien dire des pratiques de double étiquetages qui subsistent dans nombre d'agences immobilières, et autres lieux où sont traitées des transactions de montant élevé.
L'article auquel je fais référence cède par ailleurs à la facilité qui consiste à isoler une population fictive, les retraités, qui seraient coupables à 49 % de conserver leur fidélité au cher disparu, contre seulement 29 % pour les actifs.
Quand sera reconnue l'inanité, l'insanité discriminatoire de la fracture statistique entre retraités et actifs...Il y a longtemps que, dans un souci d'équité catégorielle, les entreprises ont proscrit de leur vocabulaire la dichotomie entre les productifs et les improductifs !
Ce papier ne dit pas qui s'exprime en euro-balles ou en euro-bâtons ...
Il est envisageable que l'ignorance grammaticale des princes qui nous gouvernent, ignorance qui leur a permis de substantiver abusivement un préfixe, ait porté malheur à la monnaie dite euro-péenne.
Plus concrètement, il est très possible de penser que tant que les gestionnaires de comptes bancaires maintiendront la disposition absurde du double chiffrage, qui rend de plus les relevés peu lisibles, les euro-usagers français seront encouragés à rester prisonniers du passé.
Pour ne rien dire des pratiques de double étiquetages qui subsistent dans nombre d'agences immobilières, et autres lieux où sont traitées des transactions de montant élevé.
L'article auquel je fais référence cède par ailleurs à la facilité qui consiste à isoler une population fictive, les retraités, qui seraient coupables à 49 % de conserver leur fidélité au cher disparu, contre seulement 29 % pour les actifs.
Quand sera reconnue l'inanité, l'insanité discriminatoire de la fracture statistique entre retraités et actifs...Il y a longtemps que, dans un souci d'équité catégorielle, les entreprises ont proscrit de leur vocabulaire la dichotomie entre les productifs et les improductifs !